La crise énergétique que nous vivons depuis la reprise des activités post-COVID, compliquée par les tensions politiques en Europe de l’Est, a un impact important sur les industriels très consommateurs d’énergie, dont les services publics d’eau et d’assainissement qui doivent fonctionner 24h/24. Dans un contexte de raréfaction de la ressource en eau, de recherche d’autonomie énergétique et de réflexion globale sur le prix attribué à l’eau :

→ Quelle est aujourd’hui la part des coûts énergétiques dans le prix de revient d’1 m3 d’eau traité, en potabilisation ou en épuration ?
→ Quelles mesures de sobriété énergétique les collectivités peuvent-elles mettre en place?
→ Comment maintenir l’équilibre économique de ces services essentiels, avec quelles répercussions sur le consommateur ?
→ Quelles solutions s’offrent aux collectivités pour garantir leur autonomie énergétique et s’affranchir d’éventuels délestages électriques ?

Intervenants  :

• Un.e représentant.e de la FNCCR
• Un.e représentant.e d’AMORCE
• Un.e représentant.e de la FP2E

Animation : Bernard BARRAQUE, directeur de recherche émérite au CNRS

Avec la participation de Thierry BURLOT, Président du Comité de bassin Loire-Bretagne et du Cercle Français de l’Eau